A noter !

Départ des promenades du coin de la rue de Ganay et du boulevard du Maréchal Lyautey à Milly le mercredi à 14 heures toute l'année et le lundi à 14 heures également, mais uniquement de mars à octobre (hors période de chasse).
En raison des contingences sanitaires actuelles, les promenades sont sur inscription uniquement.

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Catherine Legendre : 06 11 20 15 05
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Si vous aussi avez des photos de la forêt de Fontainebleau (paysages, flore, faune) particulièrement jolies, drôles ou insolites que vous aimeriez partager, envoyez-les nous et nous les publierons pour que chacun-e puisse les admirer en cliquant ici

Au cours de nos promenades, nous avons essayé d'identifier la flore particulièrement riche que nous avons pu rencontrer. Retrouvez-la ici.

Et pour en savoir un peu plus sur ce qui se passe dans la forêt domaniale...

Le Coquibus dans la bruyère

 






Le chemin est bordé de fleurs.
Parmi celles-ci, on reconnaît bien la carotte sauvage et ses fleurs pourpres au milieu de l'ombelle.




Plus ronde et légèrement rosée, cette apiacée porte le doux nom d'"herbe aux cure-dents" ou "herbe aux gencives".
Au Maroc, on récupère les ombelles mûres et sèches, on détache les rayons qui seront vendus sur les souks ... comme cure-dents évidemment !
Mais elle a aussi des propriétés diurétiques, antispasmodiques... Au Maroc, les graines de l'herbe aux cure-dents ou khella sont utilisées en décoction pour dissoudre les calculs urinaires.







Ici, les prunelles bien formées ont pris la place des fleurs.



















Epipactis
                                    




Le mouron rouge (ou anagallis arvensis, lysimachia arvensis) est aussi appelé baromètre des pauvres car, lorsqu'il referme ses fleurs dans la matinée, on peut s'attendre à de la pluie avant la fin de la journée.
Jadis, on le croyait capable de soigner l'anxiété : "anagallis" vient du grec anagelaô qui signifie "je ris".
En vérité, il est toxique pour l'homme et mortel pour certains rongeurs.



La morelle douce-amère est une solanacée (en latin, solari "je console") aux propriétés narcotiques et calmantes.
On raconte que les sorcières en fabriquaient un onguent dont elles se recouvraient le corps pour aller au sabbat en songe.
Elle aurait également servi à confectionner une encre permettant de communiquer avec les défunts ou des encens (aux fumées toxiques) pour faire offrande aux divinités crépusculaires !
                                      










Sur les bruyères en fleurs, des demoiselles, ici un agrion

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