Le cerfeuil des bois ... à ne pas confondre avec notre cerfeuil cultivé, celui-ci n'est pas comestible !
Le très commun géranium Herbe-à-Robert
La benoîte urbaine dont vous pouvez consommer les -jeunes- feuilles en salade et utiliser la racine pour parfumer vin ou tisane (l'eugénol a un goût de girofle) ou encore pour calmer une douleur dentaire.
Sceau de Salomon
Et une première orchidée, bien cachée sous les fougères, le platanthère
Ici, la véronique de Perse est très haute, elle cherche la lumière ...
Le myosotis
Et, toujours sous des fougères, toute une famille de platanthères
Petit détour pour admirer les rhododendrons en fleurs
A la ferme du Coquibus, quelques orchis-boucs ont eu plus de chance que d'autres, ils ne sont pas piétinés (enfin, au moment de notre passage)
Un muscari à toupet
Les limodores à feuilles avortées, autre orchidée, que nous avions vus il y a quelques jours sont maintenant bien fleuris.
La néottie nid-d'oiseau est toujours en fleurs !!!
Le dompte-venin contient des alcaloïdes qui en font une plante toxique de la fleur aux racines. Ses effets sont similaires à ceux de la digitale. Troubles possibles : vomissements, diarrhées, céphalées, affolement du rythme cardiaque. Et rien d'établi concernant ses capacités à lutter contre un venin quelconque.
Les genévriers sont chargés de baies, mais ils ont très, très soif !
Pas franchement de quoi s'extasier devant ces fleurs de silènes penchés. C'est juste pour vous donner le nom.
Agréablement parfumé, le chèvrefeuille fleurit un peu partout.
Et oui ! Nous avons vu UNE jacinthe sauvage.
Bon, celui-là, c'est juste pour le fun ! Vous aurez reconnu le mélampyre.
Et au bord du chemin de Coquibus, dans les champs, les orchis-boucs sont en fleurs ! Et ça se sent !