A peine entré-e-s dans la forêt, nous effrayons cette couleuvre, vraisemblablement une couleuvre à collier :
Au bout du parking, nous prenons le chemin de la Gorge à Véron à gauche, où nous attend une magnifique coulemelle (comestible)
Toute blanche dans la mousse verte, il s'agit sans doute d'une amanite citrine. Elle est comestible, mais peut être facilement confondue avec une amanite phalloïde (toxique), inutile de prendre des risques : nous la prenons seulement en photo :
Arrivé-e-s sur la platière, nous nous arrêtons devant les vestiges des carriers :
Un petit trou dans le rocher et hop ! un pied de bruyère surgit !
Les violents orages de ces derniers jours ont laissé des traces, la traversée de la platière est plutôt ... humide !
Ces bolets rudes ou bolets rugueux sont bien fermes -et comestibles-, mais ils n'ont aucun goût, nous nous contentons de les regarder
Le niveau de la mare du Coquibus a un peu remonté :
Les châtaigniers remarquables de la Ferme du Coquibus sont toujours aussi beaux, mais leurs troncs sont de plus en plus creux et parasités par des champignons ...
Après avoir contourné la Ferme du Coquibus, descente par le chemin des Grands Longs Vaux ...
... et nous en profitons pour ramasser les premières châtaignes
... et quelques belles girolles :
onagres |
Ici ou là, quelques taches colorées dues aux dernières véroniques ou aux épervières :
Hydne tomenteux |