Quelques vestiges d'un abri
Sur le chemin, mouron des oiseaux et mélampyres
Et, très discrets, quelques myosotis ...
Notre premier papillon, une mélitée
Les phytolaques sont resplendissants et très présents. Et ce n'est pas la poignée que nous n'avons pu nous empêcher d'arracher qui changera grand-chose !
Parfumées, les fraises des bois sont mûres !
On ne peut manquer le rouge éclatant de cette épiaire des bois (aussi appelée "ortie puante" ... je reste sur épiaire).
Posant obligeamment, ce Vulcain joue à "tu me vois, tu ne me vois plus" en ouvrant et fermant ses ailes ...
Les délicates fleurs mauves de la morelle ou douce-amère cachent bien leur jeu : c'est une plante très toxique, en particulier les fleurs et les fruits.
Plutôt rares, des groseilles presque mûres : en effet, si les groseilliers sont légion, les oiseaux se régalent des fruits avant maturité !
Ce petit diptère dodu a un nom beaucoup plus grand que lui : gymnosome arrondi
Les cornes plus longues que le corps : le longicorne !
Décidément, le parfum du sureau attire les insectes ! Ici, un cétoine doré
Envahissante, l'érigéron (aster)
Ce panneau sur l'arbre pose question sur celui qui l'y a posé : étourdi, consommateur de substances déconseillées ou illettré ?
Nous arrivons au croisement du chemin de La Passée aux Moutons et de La Roche à Diane, fin de promenade fleurie : un espace déboisé regroupe : lotier corniculé,
spirées filipendules
et phalangères à fleur de lys.
