Le lamier pourpre, cette fleur commune aussi appelée ortie rouge n'en est pas une du tout !
Et si on le regarde de près, vous ne lui trouvez pas un faux air d'orchidée ?
En plus, il est comestible, cru ou cuit, il a goût de betterave.
Les jacinthes sauvages commencent à fleurir ici ou là
Nous marcherons tout droit jusqu'au carrefour de la Roche Feuilletée puis tournerons à droite sur le chemin de Rumont que nous allons suivre jusqu'au chemin de la Vendée.
Très indiscret, mon appareil photo surprend un geste tendre entre ces deux anémones sylvie !
Au niveau du chemin de La Vendée, le sentier à gauche monte puis redescend sur le chemin des Cent Marches
Nous voilà au pied des Cent Marches. On regarde avant de se retenir à une plante dans la montée !
Pause gourmande bien méritée !
Vues de près, vous ne les trouvez pas magnifiques, ces mousses ?
Le chemin des Cent Marches nous a amené-e-s chemin du Nid d'Aigle que nous avons suivi à droite puis, à gauche, chemin de Coquibus jusqu'au chemin des Grands Longs Vaux qui, à gauche encore, nous ramène jusqu'au parking de la Gorge à Véron. Milly est à gauche ...
Au cœur de ces fleurs de pommier, des scarabées au travail !
Voici le délicat mouron des oiseaux, ainsi nommé parce ses graines sont appréciées des volatiles. Mais pas besoin d'avoir des plumes pour en manger : cru ou cuit, il est riche en calcium, silice, magnésium et vitamine C. Au Japon, il fait partie des 7 herbes sauvages mangées traditionnellement au printemps accompagnées de riz.
De plus, il capte l'azote et nourrit son habitat.
Attention par contre au mouron rouge, faux-cousin légèrement toxique, à ne pas ingérer si vous ne voulez pas vous faire du mouron intestinal ! 😉