Au bout de la rue du Rousset, à Milly, tout droit, nous prenons le PR08
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Sur la tanaisie, une coccinelle |
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Achillée millefeuille |
L'épipactis est la dernière orchidée à fleurir ; ici, un épipactis helléborine
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Scabieuse |
Beaucoup de papillons ici et là, mais celui-ci est particulièrement "cabot" : il tourne sur lui-même pour se faire admirer de tous côtés, en vérifiant du coin de l’œil ce que je fais !
Je ne sais pas vous, mais moi, quand je regarde de près un mélampyre, je vois des têtes de chevaux qui hennissent ...
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Sédum âcre |
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Joli mélange de scabieuses et d'ails à tête ronde |
Les sommités fleuries ou les rhizomes de la saponaire (ci-dessous) pouvaient
remplacer le savon pour laver les vêtements délicats
susceptibles de se décolorer. On l'utilisait également pour nettoyer les
tabliers noirs. C'est parce qu'elle contient de la saponine, une substance qui a la propriété de faire mousser
comme du savon, que la saponaire officinale porte aussi le nom d'« herbe à
savon », « savon du fossé », « savonnière »,
« laurier fleuri », « herbe à femme ». Séchées et
nettoyées, les racines peuvent servir dans la fabrication d'une poudre
qu'utilisaient jadis les habitants pour se laver les mains. Mélangée à de la soude, elle pouvait également dégraisser et blanchir les laines et dentelles pâles,
d'où son autre nom d'« herbe à foulon ».
Ci-dessus, un séneçon jacobée, et en dessous : à gauche, une centaurée et à droite le fameux plantain si efficace pour calmer les piqûres d'insectes ou d'orties (il suffit d'en froisser les feuilles et de frotter la piqûre).