Direction la Gorge à Véron (par le chemin de Milly à Coquibus) pour rejoindre la platière du Coquibus
D'énormes champignons attirent notre attention. Ce ne sont pas des "blobs" 😉 mais des "ungulines marginées" ou, plus simplement, des "polypores marginés"
Le chemin de la Gorge à Véron est un peu raide. Pause hydratation indispensable avant la traversée de la platière (dit comme ça, on a l'impression de faire du sport extrême !)
Les rochers qui barrent la route ont un gros nez ...
... ou nous regardent bizarrement ...
... ou nous snobent tout simplement !Personne n'est tenté par la visite de la Grotte de la Souris ... !
La mer a bien recouvert cette platière un jour ou l'autre, nous trouvons des restes ...
d'un caïman (à moins que ce ne soit un alligator ?)
Rocher hippie |
Visiblement, le vent souffle souvent du même côté ! |
Révérence ... |
Bon, nous avons traversé la platière, nouvelle pause pour admirer la mare du Coquibus
On révise : en haut : cladonia arbuscula, en-dessous, polytric élégant ou mieux "polytrichum formosum"
Paparazzage (comme c'est moi qui écris, je mets tous les néologismes que je veux !) des magnifiques châtaigniers de la Ferme du Coquibus
Puis descente du chemin des Grands Longs Vaux pour rejoindre le parking de la Gorge à Véron et à gauche, le chemin de Milly à Coquibus nous ramène à notre point de départ, toujours sous le soleil