La petite pimprenelle, ou petite sanguisorbe, outre ses propriétés astringentes, antiseptiques et hémostatiques, est comestible. Ses feuilles ont un petit goût de concombre. Vous pouvez la manger en salade, bien sûr, mais il vous suffit de mettre quelques feuilles dans une bouteille d'eau et de laisser infuser à froid durant la nuit, vous aurez une délicieuse boisson rafraîchissante.
Sagine noueuse |
Finalement, ce sont bien des polygalas ...
Spirée filipendule |
Argus bleu |
Les cucullies sont les chenilles de la Brèche. Belles comme des bijoux, leur appétit va néanmoins faire disparaître la molène sur laquelle elles sont nées.
Contrairement à la cucullie, difficile de voir (à gauche) cette chenille qui se confond avec les graines de l'alliaire et qui donnera plus tard un superbe Aurore. J'ai agrandi à droite.
Mélampyre des bois |
Sur l'aqueduc, une richesse botanique incroyable, dont un parterre d'anthyllides vulnéraires.
Plante médicinale s'il en est, elle est utilisée pour soigner les brûlures superficielles, les bosses, les contusions, les foulures, les engelures, les coupures, les blessures mineures et pour cicatriser les plaies récentes, difficiles à cicatriser !
Un peu plus loin, un autre parterre, mais les phalangères à fleurs de lys sont, elles, toxiques. A admirer uniquement !
Au milieu des phalangères, bien cachée, une nouvelle orchidée pour cette année, qui commence à peine à fleurir, l'orchis moucheron.
Voici les toutes petites fleurs du grémil officinal ou herbe aux perles, dont vous verrez plus facilement les graines cet hiver, quand les feuilles auront disparu.
Ce ne sont pas des orchidées, mais des orobanches, plantes parasites qui vivent sur les racines d'une plante-hôte dont elles tirent leurs nutriments.
Ce criquet des champs a pris le pull bleu d'une promeneuse pour une fleur, le temps d'une photo.
Scabieuse |
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