De la Montignotte à l'aqueduc

Depuis le parking de La Gorge à Véron, à gauche jusqu'au chemin du Guichet, tapissé de jacinthes d'un vert profond.

                        

Mais au milieu de tout ce vert, les premières jacinthes commencent à fleurir, et les butineuses se mettent au travail !

Milly depuis la Montignotte

Le vert tendre des premières feuilles apparait enfin !

                        

Le lierre n'est pas nocif pour les arbres, mais quand il devient encombrant, ça penche du côté où ça risque fort de tomber !

Seule fleur le long de l'aqueduc, un muscari négligé

                                 

Je suis descendue de la platière pour rejoindre le chemin de Milly à Melun, jusqu'à La Roche qui Tourne. Ici, on voit nettement les traces laissées par les carriers.

Petit coup d'œil à l'abri gravé de La Roche qui Tourne, qui comporte de nombreux sillons

Après avoir remonté le chemin des Côtes de Courances, j'ai suivi celui du Coquibus puis suis rentrée par le chemin des Grands Longs Vaux. Sur les bords, des tapis de stellaires langue d'oiseau.

Et enfin des papillons ! 

Tout d'abord, un Aurore, qui ne tient pas en place et me donne du fil à retordre pour le prendre en photo...

Plus calmes et poseurs, les Azurés des Nerpruns.

De la Reine à la Louve

Depuis le parking de la Plaine de Chanfroy, j'ai pris tout de suite à droite le chemin de La Fauvette, à gauche celui du Rocher de la Reine, puis j'ai suivi l'aqueduc jusqu'à la route de La Louve que j'ai prise, à gauche, pour revenir vers la Plaine de Chanfroy.

                               

Sur l'aqueduc, la potentille rampante ne manque pas !

                                         

Mais il y a aussi, et en quantité également, de la potentille faux-fraisier.

                                     

Saviez-vous que ces arbres, couchés par les vents ou le poids de la neige, se nomment "chablis" ?

                                       

Les anthyllis vulnéraires se préparent à fleurir elles aussi ...

Pause bien méritée !

Cet énorme rocher n'est retenu que par un tout petit !

 

Il y en a qui hésitent avant de s'élancer vers le ciel !

Vite, vite, l'heure du couvre-feu approche, ce bousier aussi se dépêche de rentrer.

                      

Au passage, j'ai tout de même le temps d'admirer tous ces arbustes en fleurs.

                                               

Des Chênes Velus aux Cent Marches

Depuis le chemin des Chênes Velus, je suis montée au Chalet pour rejoindre les Cent Marches. J'ai suivi le chemin à gauche de celles-ci, pour rejoindre le chemin des Cent Marches, je suis remontée par l'allée du Garde-Forestier, passage devant la Mare du Raboliot, puis retour par le chemin de Coquibus, les Grands Longs Vaux, la Roche Feuilletée, descente par le chemin des Lilas et retour à gauche par le chemin de Rumont.

Ce rocher m'a fait penser au Cri de Munch.

On voit bien, le long du chemin de Coquibus, que ces pissenlits doivent venir du même groupe de graines, emportées par le vent ...

                                

Au point de vue, les genévriers ont beaucoup souffert de la sécheresse, mais il y a quelques baies.

                               

En haut et en bas du chemin dit des Lilas, les fleurs se préparent.

Surprise avec ce bouquet de muscarii négligés au pied du panneau du Carrefour de la Roche Feuilletée

Bien présente partout bien que minuscule, l'arabette hirsute

J'attendais la floraison des anémones Sylvie. Moins nombreuses que les années précédentes, elles sont néanmoins fidèles au rendez-vous.

Et toujours les ficaires ...

Très présent sur la quasi-totalité des fleurs, ce petit coléoptère que vous connaissez bien, le mélighète (ici sur une Véronique de Perse).