Le Polissoir

Covoiturage jusqu'au chemin du Polissoir, puis nous tournerons à gauche dans le chemin de La-Roche-qui-Tourne, jusqu'au chemin, à droite, de la Gorge aux Poiriers. Nous le monterons jusqu'à la platière du Coquibus, chemin du même nom à gauche puis à droite le chemin des Côtes de Courances qui nous permet de redescendre jusqu'au chemin de La-Roche-qui-Tourne. Enfin à gauche chemin du Polissoir.

Verveine officinale

Vous voyez ce point sombre au milieu de l'ombelle ? Ce n'est pas un insecte, mais le signe qu'il s'agit de carotte sauvage. Comestible. A ne pas confondre avec la ciguë, par exemple (qui n'a pas ce "point").

Il y a quantité de phytolaques un peu partout. Petit geste pour la forêt, on arrache ceux qui poussent sur le chemin.

                            

Sur la photo, deux renouées : la tige fleurie bien dressée avec sa fleur rose, c'est de la renouée persicaire et, en avant-plan, les fleurs un peu tombantes, c'est du poivre d'eau. Les feuilles de la première sont clairement tachées et il vous suffit de mordre dans une feuille, vous ne pouvez pas vous tromper !

Amical salut à l'arbre-dragon !

On dit des arbres penchés comme ceux-là que ce sont des chablis.

                                                      

Et nous voici à la Mare aux Joncs, au bord de la platière du Coquibus. 

Asters lancéolés ou érigérons

En débouchant sur la platière, nous découvrons un magnifique genévrier ... couvert de baies !

                                                 

Il semblerait que nous soyons surveillées !

Après les chablis, les saules meursault

Assemblée Générale

Temps magnifique, et même un peu chaud (on croit rêver !) pour cette nouvelle assemblée générale qui a rassemblé presque tou-te-s les adhérent-e-s.

Peu de choses à dire puisque 2020 a vu se succéder confinements et restrictions de sorties.

Au milieu des Promeneu-r-se-s, des spectatrices inattendues mais on ne peut plus élégantes dans les euphorbes, les chenilles du sphinx ... de l'euphorbe.

Après un petit verre de champagne bien mérité, le pique-nique partagé. Nous nous sommes régalé-e-s !

                           

Pour digérer, une promenade.

Il fait beau et chaud, les papillons sont de sortie, un peu curieux à notre approche.

 

                                                  

La carline, ou chardon des montagnes, servait de baromètre instantané car elle se referme lorsque le temps s'humidifie ou devient pluvieux. Les jeunes fleurs peuvent se déguster à la façon des artichauts.

Ben t'es qui, toi ?

Décidément, à l'allée comme au retour, nous sommes interpelées par une délicate odeur florale. Après recherches, il s'avère que ce sont les scabieuses qui sentent si bon !

La bruyère du Coquibus

Dès la parking de la Boulignière, nous sommes accueillies par des massifs de renouée persicaire. 

                                

Très belles fleurs pour ce galéopsis tétrahit ou ortie épineuse, ortie royale

Sclérodermes communs

                                                

La moindre petite fissure est l'occasion d'une germination. On se demande ce que sera cet arbre dans dix ans ... ?

                         

Il y a énormément de bruyère partout, nous en prenons plein les yeux, mais le ciel gris ne rend pas justice aux photos.

                                             

Pour la première fois depuis plusieurs années, la mare du Raboliot est pleine d'eau et les herbes en ont largement profité !

Tiens, pour changer, une scabieuse !

                                     

Et une verveine officinale

Des ronces comme on en voit rarement !

Sur une eupatoire, une volucelle zonée, diptère qui est en fait un gros syrphe, souvent confondu avec un frelon en raison de ses couleurs et de sa taille. Je vous rappelle que les syrphes ne piquent pas !

Bon, ça grouille un peu, et je me suis demandée ce qu'étaient ces bêtes multicolores. Finalement, en gros plan, c'est assez simple, vous avez ici une naissance de gendarmes.

Toujours aussi belles, les potentilles dressées