A la recherche des champignons

Le ciel est plutôt clément aujourd'hui, mais les pluies des derniers jours nous incitent à chercher l'éventuelle poussée de champignons. Covoiturage jusqu'au parking de la Gorge à Véron :







Notre première trouvaille est de taille mais pas mangeable puisqu'il s'agit vraisemblablement d'un amadouvier 




Ça ne s'arrange pas un peu plus loin : la ramaire droite ou clavaire dressée est réputée non comestible ... à toxique




Difficile (pour moi) d'identifier ce tout petit champignon : c'est probablement un mycène, au mieux comestible inintéressant.





Très élégant, le coprin noir d'encre : attention, comme tous les coprins, consommé avec de l'alcool, il provoque une intoxication spectaculaire ! A éviter !







Sur ce bouleau, des polypores qui sont, pour la plupart, inconsommables parce que trop coriaces et ligneux.






Passage obligé à la mare du Coquibus qui n'a toujours de mare que le nom ...







Les sclérodermes ont toujours de drôles d'allures ! 





Collybies ou mycènes ? De toutes façons, à regarder seulement


                                         







Certains champignons ont trouvé comment ne pas être piétinés ou ramassés par des promeneurs, mais ça ne simplifie pas l'identification : c'est peut-être une pleurote.






Celle-ci est très visible et très reconnaissable (et enfin comestible !) : la coulemelle





Au bout du chemin du Petit Coquibus, le buisson d'ajonc est en fleurs !






Nous finissons la promenade en trouvant un très joli champignon, un coprin pie (ou coprin bigarré ou coprin noir d'encre), facile à reconnaître mais comestible médiocre car sa chair est très mince et se liquéfie très rapidement et son odeur est franchement désagréable.